PSYCHOPRATICIENNE TRAUMATISME ET DEUIL À NÎMES

Un espace bienveillant pour apaiser votre souffrance.

  Deuil – Accompagnement Spécialisé – Nîmes

Deuil

Vous n’avez plus besoin de rester seul face à votre tristesse.

Le deuil n’est pas seulement la perte d’un être cher. C’est aussi un vide qui s’installe et qui ne vous quitte plus après une séparation. C’est la fin d’un emploi, un diagnostic qui change tout, ou une amitié qui s’écroule sans raison.

La douleur peut être si intense qu’elle prend toute votre espace psychique, mais souvent, elle reste en arrière-plan, et vous contraint à fonctionner en mode automatique, comme un robot. Vous continuez à vivre, mais vous en êtes prisonnier et vous peinez à aller de l’avant.

En tant que psychopraticienne spécialisée dans l’accompagnement du deuil à Nîmes, j’offre un espace où votre souffrance est entendue, où vous pouvez venir déposer ce fardeau sans jugement. Mon approche se base sur les dernières avancées en neurosciences comme le Brainspotting, mais aussi sur une écoute profondément humaniste et bienveillante. Vous n’êtes pas obligé de rester seul dans la souffrance –  des solutions existent pour vous apaiser.

Qu’est ce que c’est qu’un deuil ?

Le deuil, c’est avant tout le fait de devoir accepter que les choses ne seront plus jamais comme avant. Il peut toucher tous les aspects de la vie : la famille, les amis, la culture, l’environnement, la politique… Le monde d’aujourd’hui nous confronte à des pertes multiples et complexes que nos grands-parents n’auraient jamais imaginées.

Les différents genres de deuils

La perte de connexion

Quand on pense au deuil, on pense immédiatement à la mort d’un être cher. Mais en réalité, toute perte de connexion avec l’autre se transforme en deuil : une séparation – même choisie, la fin d’une amitié, la rupture de liens familiaux. Chaque relation qui se brise laisse un vide, une absence qui résonne et prend de la place dans votre esprit et votre quotidien.

La perte d’identité 

Qui êtes-vous sans votre travail ? Après une maladie qui change votre corps, vos capacités ? Quand vos enfants quittent la maison, quand vous vieillissez ou partez à la retraite ? Le deuil identitaire touche ce qui vous définissait en tant que personne. Le temps qui passe, les transitions de vie, la perte de capacités physiques ou mentales… autant de miroirs fissurés qui vous renvoient une image distordue de vous-même que vous ne reconnaissez pas.

La perte d’appartenance 

Déménager, immigrer, voir son quartier changer, perdre sa communauté : c’est le deuil de ces lieux qui vous définissent, de cette culture qui vous anime. Parfois c’est plus subtil : des traditions familiales qui disparaissent, une langue que vous n’avez jamais apprise, un monde qui vous échappe de plus en plus. Perdre le sentiment d’appartenance et un deuil difficile à expliquer et mal compris.

Le poids d’attentes déçues et de rêves impossibles

Le deuil n’est pas forcément un changement ou une perte. Dès fois, le deuil c’est ce qui n’est pas arrivé, qu’on aurait voulu, ou qui aurait dû. Un enfant qui ne vient pas. Une carrière qui ne décolle jamais. Un rêve qui s’écroule. C’est le deuil de ce qui n’a pas été. Comment pleurer une chose qui n’a pas existé ?

Le deuil sociale et culturelle 

Les bouleversements politiques, les catastrophes environnementales, une pandémie qui change tout. Ces deuils collectifs nous touchent tous, mais on se sent souvent seul à les ressentir. C’est le deuil du monde d’avant : un monde plus simple, plus rassurant, mais qui n’existe plus.

Quand le Deuil se Complique

Parfois, faire son deuil peut être complexe – la douleur perdure, les mois passent sans soulagement, et vous en êtes hanté jour et nuit.

Le deuil traumatique

Quand la perte s’accompagne d’un choc émotionnel brutal dont le système nerveux peine à se remettre. Le cerveau reste en alerte, incapable de traiter l’intensité de ce qui s’est passé.

Le deuil anticipé

Il s’agit de vivre la perte avant qu’elle n’arrive, comme lorsqu’on accompagne un proche en fin de vie.

Le deuil non reconnu

Ces pertes que la société ne reconnaît pas : votre douleur est réelle même si elle n’est pas considérée comme légitime.

Le deuil blanc

Alzheimer, démence, traumatisme crânien… Quand l’essentiel de nos proches disparaît mais qu’ils sont physiquement présents. Comment pleurer une personne qui est encore là ? Comment faire le deuil d’une relation qui n’existe plus avec quelqu’un qui est toujours vivant ?

Le deuil cumulé

Ceci rajoute une couche de complexité au processus de deuil : on n’a pas le temps de digérer le premier qu’on en subit un autre, puis un troisième voire un quatrième. On a l’impression de se noyer dans la douleur, de manquer d’air, d’être tabassé par la vie.

Les émotions mixtes dans le deuil

Derrière la tristesse d’un deuil peuvent se cacher colère, culpabilité, voire même du soulagement. Vous pouvez pleurer quelqu’un tout en lui en voulant, ressentir un immense soulagement à la mort d’un proche difficile, ou au contraire ne rien ressentir du tout – et culpabiliser de cette absence d’affect. Ces contradictions sont normales : vous n’êtes pas une mauvaise personne, vous êtes juste humain. Mon accompagnement prend en compte tous vos ressentis, même ceux qui vous semblent inavouables.

C’est le moment de demander de l’aide

Il n’existe pas de « bon moment » pour demander de l’aide face au deuil. Mais il y a quand même certains éléments qui peuvent vous indiquer qu’il serait bon d’avoir un accompagnement professionnel :

  • Votre douleur interfère avec votre quotidien depuis plusieurs mois
  • Vous vous sentez bloqué dans la souffrance, incapable d’avancer
  • Vous évitez tout ce qui vous rappelle ce deuil
  • Vous avez des symptômes traumatiques : flashbacks, cauchemars, angoisse, anxiété, crise de panique, irritabilité, culpabilité, ruminations
  • Vous “gérez” la douleur de façon malsaine : alcool, drogue, isolement, comportements à risque
  • Votre entourage s’inquiète pour vous
  • Vous avez simplement besoin de quelqu’un à qui parler

Être en deuil n’est pas une faiblesse, et demander de l’aide non plus.

Mon Approche Thérapeutique

Honorer votre deuil, pas forcément le faire disparaître

Il y a des deuils qui sont là pour être portés. Je ne suis pas là pour vous sommer de « passer à autre chose »  : le deuil est une expérience profondément spirituelle et humaine qui doit être respectée. Mon rôle est d’en être témoin, et de vous accompagner pour que votre peine ne vous détruise pas.

Cela dit, j’ai quand même les compétences nécessaires pour soulager votre douleur, et traiter efficacement les symptômes associés. Quels que soient vos besoins, je suis là pour les entendre et les honorer.

Pourquoi une approche trauma-informée?

Certains deuils sont en réalité des traumatismes que le système nerveux n’arrive pas à digérer, trop submergé par l’intensité des affects associés. Quand une perte est trop violente, le cerveau ne peut traiter l’information et le deuil ne peut se faire sans aide professionnelle.

C’est pourquoi j’utilise des techniques de pointe comme le Brainspotting qui traitent le traumatisme à sa source neurologique, et pas seulement au niveau des pensées. Cette approche neuro-expérientielle, contrairement aux approches traditionnelles qui se concentrent sur les étapes classiques du deuil, prend en compte votre expérience personnelle et unique, et permet le traitement efficace de l’intensité de votre vécu.

Vous n’avez pas à traverser ce deuil seul – je suis là pour vous accompagner.

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